L’économie est physique
La densité de flux d’énergie permet l’économie de travail.

Il n’y a jamais eu de monnaie publique inter-pays.

En favorisant la production permettant de transformer la nature, les centrales au thorium permettront un meilleur niveau de vie, base d’une croissance démographique.

L’Économie comme Science de Développement Social (flèche du bas pour avancer) :
https://ecoreel.fr/ftp/2018-05EconomieScience.sozi.html
https://archive.org/download/EconomieReelle/2020-01%20%C3%89conomie%20R%C3%A9elle.ogv

Sources de mes sites web :
https://archive.org/download/SauveLiberlog/economiesgbases.tar.7z
https://archive.org/download/SauveLiberlog/GLOBE.7z

Matthieu GIROUX
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Histoire de l’économie physique
Article mis en ligne le 19 juillet 2013
dernière modification le 15 septembre 2013

par Matthieu Giroux

L’économie physique vous explique comment les richesses pouvant pour certaines s’acheter sont produites. Elle indique aussi comment il est possible de croître la population en augmentant le niveau de vie grâce à la créativité humaine agissant sur la production agroalimentaire et industrielle.

Histoire

Les grecs utilisaient des esclaves dans leur industrie parce qu’il n’y avait pas les machines à moteur. Cela vous paraît évident mais ce principe de moindre action est remis en question aujourd’hui. En effet en 2013 beaucoup se plaignent des machines-outils en promolvant le travail manuel. Le problème est avant tout que la France n’en fabrique plus. Avant le Moyen-Age, l’esclavagisme a causé l’implosion de la civilisation romaine. Cela mis fin temporairement aux découvertes scientifiques grecques.

Les grecs utilisaient beaucoup la géométrie dans les mathématiques. Ils ont ainsi défini le principe de moindre action permettant de créer facilement des figures géométriques. Cela leur permettait d’élever leur esprit pour comprendre comment construire dans l’espace. Aujourd’hui encore la géométrie est essentielle pour comprendre l’infiniment petit. Or elle est insuffisamment enseignée depuis les années 1960.

Au XVe siècle Nicolas de Cuse définit le principe de minimum maximum lié avec la transformation d’arc de cercle en droite. Cette démonstration est issue du principe de moindre action des grecs. Nicolas de Cuse démontre aussi qu’il est impossible de créer un cercle à partir d’un polygone. Il met donc en avant la notion d’infini, présente partout dans l’univers et dans la vie.

Au XVIe siècle Kepler a géométriquement déterminé le poids de la terre en comprenant les trajectoires elliptiques des planètes du système solaire. Avant les trajectoires des planètes n’étaient pas comprises. Pour comprendre les trajectoires des planètes Kepler a créé le cosmographe. En créant le cosmographe, Kepler a ainsi créé les fondements de la physique mathématique, dépendante de la géométrie. Kepler n’aurait jamais pu déterminer la masse de la terre sans son cosmographe.

Le cosmographe de Kepler

Pourtant en 2013 la géométrie est enterrée au lycée en France. On dit que c’est pour spécialiser les élèves. Seulement beaucoup d’élèves deviennent alors dépendants de leur propre connaissance, et sont incapables d’évoluer pour que la science évolue. La géométrie de Kepler a pourtant permis de grandes découvertes.

Léonard de Vinci a créé au XVe beaucoup de machines. Vous pouvez voir toutes ses créations dans différents livres d’images. Léonard de Vinci a créé toutes sortes d’engrenages permettant d’élaborer une machine à vapeur. Il utilisait le principe de moindre action, permettant de gagner en efficacité. La machine à vapeur va être ensuite élaborée par Denis Papin au XVIIe siècle.

Denis Papin a été le collaborateur de Leibniz. Leibniz a voulu utiliser le principe de moindre action pour révolutionner l’exploitation minière. Les travaux de Leibniz vont de la philosophie à la science, en passant par l’économie. Leibniz a sublimé le principe de moindre action présent dans l’économie physique afin de permettre de résoudre les problèmes liés à l’esclavage avec les machines de l’époque. Il a fourni ses travaux à la Russie de Pierre Ier, qui a sublimé au XVIIIe siècle la Grande-Bretagne dans l’exploitation minière. Christiaan Huyghens, autre collaborateur de Leibniz, va permettre l’élaboration des moteurs à combustion, beaucoup plus tard cependant.

Au XIXe siècle le physicien Sadi Carnot comprenait que la géométrie permettait d’englober des phénomènes physiques afin de construire des machines. Il élabore le premier système permettant de comprendre l’utilisation de la chaleur, sur laquelle nous avons encore des découvertes à effectuer. Sadi Carnot montre très clairement qu’il existe des moments de contraction et de détente d’air dans sa machine agitée par la chaleur. Ce système permet de comprendre la thermodynamique. La thermodynamique a permis d’élaborer ensuite les moteurs à combustion.

La machine Carnot ressemble à un piston

Là encore la géométrie et le principe de moindre action vont permettre de créer le moteur à combustion. L’invention du moteur à combustion va permettre avec le pétrole de donner la possibilité à l’être humain d’abolir législativement l’esclavagisme. Les moteurs nous permettraient aujourd’hui de prétendre à une civilisation humaine créative. C’est ce qu’ont élaboré Alexander Hamilton et Friederich List avec la banque d’état. Cette banque crée une monnaie productive, un crédit permettant des grands travaux, qui appartient au peuple avec un protectionnisme utile.

La méthode Larouche-Riemann est une démonstration des travaux de Nicolas de Cuse sur l’action circulaire. Leibniz a engagé des travaux dans cette théorisation de l’économie humaine avec l’action circulaire. Riemann a continué le travail permettant à Lyndon Larouche de préciser l’utilité d’une telle méthode, permettant par ailleurs de voir les crises de dessiner tout en proposant le développement humain. Cette action circulaire permet maintenant de comprendre l’évolution économique et démographique humaine. Elle remplace les graphiques 2 dimensions ne permettant pas de comprendre l’évolution de l’économie humaine.

Conclusion

Notre raison créative nous a toujours séparé de l’animal, comme l’explique Friederich Schiller. Il est d’ailleurs possible de créer une société où chaque citoyen évolue, une société de chercheurs. Le protectionnisme utile a cet avantage de permettre d’accéder à ce genre de société en protégeant la créativité humaine. Quand on a goutté à la créativité on a envie d’évoluer.

L’économie monétaire, en faisant pression sur la production avec le fameux rapport qualité-prix, fait pression sur les industries et casse toute possibilité de protectionnisme à la Roosevelt puis à la Mendès ou à la De Gaulle, permettant à chaque peuple de faire valoir sa raison créative. Le protectionnisme à la Roosevelt permet d’éradiquer toute forme d’usure, notamment avec une monnaie équitable à véritable valeur productive. Roosevelt avait cette envie compréhensible de développer l’Afrique, ce que la France n’a malheureusement pas voulu faire. Quand on développe l’autre on se développe soi.

L’économie physique explique qu’une économie humaine doit se gérer humainement, c’est à dire en protégeant et en englobant la créativité humaine. L’économie physique est une économie englobant le principe de moindre action possible grâce aux énergies denses. On parle alors d’économie de travail grâce à la densité de flux d’énergie. Les machines vont en effet permettre aux ouvriers d’être plus tranquilles, encore faudrait-il qu’ils soient favorisés.

D’après http://www.solidariteetprogres.org/approche-leibnizienne-science-economique